• portfolio

    Van Khache

    Serge Van Khache was born in 1946 in Angoulême. His mother was french and his father an Asian.

    Stuying painting at the Ecole des Beaux-Arts in Angoulème, he was learning a lot about photography with his father in the same time. He settled in Paris as a photographer and illustrator. He worked for a lot of magazines such as Lui, Play Bpy, Vogue and in the cinema, in some films by André Cayatte, Agnès Varda as well as Roger Hanin.

    In 1984, he decided to exclusively devote himself to painting. His work is in a visionnary kind of art. His technique for creating glazing looks like the flamand masters. His rigour and meticulouness take inspiration from his asian origins that characterise his painting.

    In 1998, he decided to be exclusively exhibited in Galerie Mickaël Marciano, at Place des Vosges, in Paris.

  • portfolio

    Wetterer

    Jacques WETTERER awarded a diploma in the Arts and dental Techniques

    sector in which he made a long career. He will continue at the same time

    as these activities, studies of biology which are going to stimulate its

    curiosity and his infinite love for the nature in all its aspects.

    Arrived at the term of his career, he decides to dedicate itself completely

    to his great  passion  (the artistic reproduction of animals).

    Its experience of the modeling of teeth and the sculpture, its deep

    Knowledge of the ceramic, plastic and metallurgical materials acquired

    by the realization of thousands of human dento-facial restorations will

    allow him to arrest with serenity this new domain which is going to get

    him unknown feelings.

    For 25 years it is the photography which took over allowing him today to

    have the best possible support for the realization of its sculptures.

    The happiness of the close contact with animals in their environment

    motivates the main part of its investments at time and means.

    Keep the image to try to reproduce the animal in its most surprising lines,

    this is now the new horizon in Jacques life.

  • portfolio

    Wetterer

    Jacques WETTERER est né près de Strasbourg. Diplômé dans les Arts et techniques dentaires dans lesquels il fit une longue carrière ; parallèlement à ces activités, il poursuivra des études de biologie qui vont stimuler sa curiosité pour la nature dans tous ses aspects.

    Arrivé au terme de son parcours professionnel, il décide de se consacrer à sa grande passion (la reproduction du monde animal par la sculpture).

    Son expérience du modelage de précision et sa maitrise des matériaux lui permettront d’aborder ce nouveau domaine avec satisfaction.

    Contemplatif, sensible aux structures et beautés de la nature depuis son enfance, il consacre l’essentiel de ses moyens à l’observation, la photographie et l’étude des animaux pour lui permettre d’accéder au réalisme qu’il souhaite pour ses œuvres.

    Les menaces qui pèsent aujourd’hui sur le monde animal l’encouragent à contribuer à faire connaitre et aimer au travers de ses réalisations ce que notre planète possède encore comme richesse naturelle et qu’il faut à tout prix protéger.

  • portfolio

    Corneille

    Corneille Guillaume Beverloo (3 July 1922 – 5 September 2010), better known under his pseudonym Corneille, was a Dutch artist.

    Corneille was born in Liege, Belgium, although his parents were Dutch and moved back to the Netherlands when he was 12. He studied art at the Academy of Art in Amsterdam, in the Netherlands. He was one of the founders of the REFLEX movement in 1948 and in 1949 he was also one of the founders of the COBRA movement, which has had great influence on Scandinavian art.[3] He was active within the group from the beginning, not only painting but also publishing poetry in the Cobra magazine. He was a cofounder of the Experimentele Groep in Holland.

    The poetic Corneille was strongly influenced by Miró and Klee. After the group dissolved in 1951 he moved to Paris and began collecting African art. These primitive artifacts became evident in his works, which began to take on a more imaginative style, like landscapes seen from a bird’s eye view, exotic birds and stylised forms. His work is in the collection of the Centre Georges Pompidou.

    Until his death Corneille lived and worked in Paris, and made visits to Israel where he worked with the Jaffa Atalier. On 24 September 2003 an exhibition of his prints opened at the Ramat-Gan Museum of Art, Israel. He died at Auvers-sur-Oise, France.

  • portfolio

    Corneille

    Après avoir suivi les cours de l’École des Beaux-Arts d’Amsterdam, Corneille commence à exposer en 1946, puis découvre le surréalisme. Cofondateur en 1948 avec Karel Appel, Eugène Brands, Constant Nieuwenhuis, Anton Rooskens et Theo Wolvecamp, du mouvement expérimental REFLEX, il est l’un des initiateurs de COBRA avec Karel Appel, Constant Nieuwenhuis, Asger Jorn et Dotremont. À ce groupe se joignent bientôt des poètes, des peintres et des écrivains dont Jacques Doucet, Pierre Alechinsky, Henry Heerup, Reinhoud, Else Alfelt, Carl-Henning Pedersen, Egill Jacobsen, C.O. Hultén, Anders Osterlind, Max Walter Svanberg.

    Après avoir évolué vers l’abstraction (paysagisme abstrait) après la dislocation du groupe Cobra en 1951, Corneille revient à la figuration au début des années 1960. Impressionné par la luxuriance de la nature dans certains pays visités (Afrique, Amérique du Sud, Mexique…), il retrouve le vocabulaire expressionniste et passionné de la période Cobra.

    Dans ses œuvres ultérieures, empreintes de lyrisme, la femme (qui représenterait la terre dans le langage de l’artiste), l’oiseau (l’élément masculin et l’artiste lui-même), le soleil et le serpent (symboles du sexe féminin et masculin) ainsi que le chat sont omniprésents.

    En 1999, lithographe, il découvre l’aquagravure, et travaille avec les Éditions l’Estampe et leurs ateliers. L’aquagravure est une technique récente entre la sculpture et la lithographie. Ce relief convient bien au trait marqué et aux couleurs vives de Corneille.

    Corneille est inhumé le 9 septembre 2010 au cimetière d’Auvers-sur-Oise, près de la tombe de Vincent van Gogh.

  • portfolio

    Joy’

    JOY’ is born in Martigues ( France ) in 1981.
    Since her childhood JOY’ has been attracted to art and creation. She studied fashion design and saw her work win numerous awards and exhibited in various places. After a few years as a fashion designer and stylist, having sold her products to major retailers, she decided to devote herself to art, her true passion.

    JOY’ remodeled the tin can, product and universal symbol of our society, thus becoming a bronze sculpture, dressing it in bright colors and multiplying references to pop art and rock culture.

    This is one of the most recognizable objects in the world. The tin can is present on every continent, in every house, in every hand, to all generations, to all social classes, to all religions, always with the same objective, drink it and empty it. But when it is empty and wrinkled, folded, it continues to exist.
    JOY’ invites us to look at this omnipresent object,  present everyday, from an artistic point of view. Between Pop Art and New Realism, Popy Can is a link between all because everyone can relate to it.

    The tin can becomes the POPY CAN, a terribly attractive and fun work of art.

  • portfolio

    Joy’

    Artiste

    JOY’ est née à Martigues (France) en 1981.

    Depuis sa plus jeune enfance JOY’ est attirée par l’art et la création. Elle étudie le stylisme et voit ses travaux remporter de nombreux prix et s’exposer dans divers endroits. Après quelques années en tant que créatrice de mode et styliste, voyant ses produits vendus par les plus grandes enseignes, elle décide de se consacrer à l’art, sa véritable passion.

    JOY’ se réapproprie la cannette, produit et symbole universel de notre société, pour la sculpter en bronze, l’habiller de couleurs vives et multiplier les références au Pop Art et à la culture rock.

    C’est l’un des objets les plus reconnaissables dans le monde. La canette est présente sur chaque continent, dans chaque maison, dans chaque main, toutes générations, classes sociales, religions confondues. Le but est toujours le même: la boire et la vider. Mais lorsqu’elle est vide, froissée et pliée, JOY’ continue à exister.

    JOY’ nous propose de regarder cet objet omniprésent dans notre quotidien d’un point de vue artistique. Entre Pop Art et Nouveau Réalisme, la Popy Can est un trait d’union entre tous car chacun peut s’y reconnaître.

    La cannette devient POPY CAN oeuvre d’art terriblement séduisante et heureuse.

     

    Expositions et distinctions

    JOY’ est exposée tout au long de l’année à la Galerie Maner de Pont-Aven en Bretagne.

    JOY’ fait partie de nombreuses collections privée à travers le monde : Europe, Etats-Unis, Asie …

  • portfolio

    Arman

    Armand Pierre Fernandez  naît le 17 novembre 1928 à Nice et grandit dans la boutique d’antiquités de son père. Élève brillant, il commence à peindre à 10 ans et intégrel’Ecole des Arts Décoratifs de Nice en 1946. A 19 ans, il rencontre Yves Klein et Claude Pascal qui deviendront ses deux plus proches amis. C’est le début d’une jeunesse exaltée, son intérêt pour la philosophie et les arts d’Extrême-Orient le conduit à l’école du Louvre à Paris en 1949.

    De retour à Nice en 1951, son attrait pour la peinture se précise, sous l’influence du peintre russe Serge Poliakoff et de Nicolas de Staël. Il décide, à l’instar de Vincent Van Gogh, de signer de son prénom. En 1958, à l’occasion d’une exposition chez Iris Clert, le peintre remarque une erreur d’impression sur le carton d’invitation: Armand était écrit sans « d » et cela deviendra sa signature.

    1959: la carrière d’ARMAN connaît une nouvelle orientation avec le début des Accumulations d’objets.

    1960: ARMAN est l’un des membres fondateurs d’un collectif d’artistes: les Nouveaux Réalistes, sous la houlette de Pierre Restany.

    Exposition et distinctions

    Une grande Rétrospective d’ARMAN a eu lieu à la Galerie Nationale du Jeu de Paume de janvier à avril 1998. En l’an 2000, ARMAN travaille sur des fragmentations sur panneau, puis, apparaissent les superpositions. Arman est représenté dans plus de 500 expositions personnelles dont 77 en musée qui lui ont été consacrées. ARMAN décède le 22 octobre 2005, à New York. Il est exposé en permanence à la Galerie Maner depuis son ouverture.

Load More

Stay up to date

Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.